NOM

unshare – Exécuter un programme dans de nouveaux espaces de noms

SYNOPSIS

unshare [options] [programme [arguments]]

DESCRIPTION

La commande unshare crée de nouveaux espaces de noms (comme précisé par les options de ligne de commande décrites ci-après) puis exécute le programme indiqué. Si programme n’est pas fourni, alors ${SHELL} est exécuté (par défaut : /bin/sh).
 
Par défaut, un nouvel espace de noms subsiste aussi longtemps qu’il possède des processus membres. Un nouvel espace de noms peut être rendu persistant, même s’il ne possède pas de membres, par montage lié (bind) des fichiers /proc/pid/ns/type vers un chemin de système de fichiers. Un espace de noms qui a été rendu persistant de cette façon peut ensuite être entré avec nsenter(1) même après que le programme soit terminé (excepté les espaces de noms PID où l’exécution permanente de processus init est nécessaire). Une fois qu’un espace de noms n’est plus nécessaire, il peut être rendu temporaire avec umount(8) pour supprimer le montage lié. Consulter la section EXEMPLES pour plus de détails.
 
unshare depuis la version 2.36 d’util-linux utilise les fichiers /proc/[pid]/ns/pid_for_children et /proc/[pid]/ns/time_for_children pour des espace de noms persistants PID et temps. Cette modification nécessite un noyau Linux version 4.17 ou plus récent.
 
Les types d’espace de noms suivants peuvent être créés avec unshare :
 
espace de noms de montage
Le montage et démontage de systèmes de fichiers n'affectera pas le reste du système, sauf pour les systèmes de fichiers explicitement marqués comme partagés (avec mount --make-shared, consultez /proc/self/mountinfo ou findmnt -o+PROPAGATION pour les drapeaux shared). Pour de plus amples détails, consulter mount_namespaces(7) et l’explication du drapeau CLONE_NEWNS dans clone(2).
 
unshare, depuis util-linux version 2.27, règle automatiquement la propagation à private dans un nouvel espace de noms montage pour assurer que celui-ci soit vraiment isolé. Il est possible de désactiver cette caractéristique avec l’option --propagation unchanged. Remarquez que private est le comportement par défaut du noyau.
 
espace de noms UTS
La configuration du nom d'hôte ou du nom de domaine n'affectera pas le reste du système. Pour de plus amples détails, consulter uts_namespaces(7).
 
espace de noms IPC
Le processus aura un nom d'espace indépendant pour les files de messages POSIX ainsi que pour les files de messages de System V, les ensembles de sémaphores et les segments de mémoire partagée. Pour de plus amples détails, consulter ipc_namespaces(7).
 
espace de noms réseau
Le processus aura des piles IPv4 et IPv6, des tables de routage IP, des règles de pare-feu, les arborescences de répertoires /proc/net et /sys/class/net, des sockets, etc., indépendantes. Pour de plus amples détails, consulter namespaces(7).
 
espace de noms PID
Les enfants auront un ensemble distinct de mises en correspondance de PID à traiter de celui de leur parent. Pour de plus amples détails, consulter pid_namespaces(7).
 
espace de noms de groupe de contrôle
Le processus aura une vue virtualisée de /proc/self/cgroup, et les nouveaux montages de groupe de contrôle auront pour racine celle du groupe de contrôle d’espace de noms. Pour de plus amples détails, consulter cgroup_namespaces(7).
 
espace de noms utilisateur
Le processus aura un ensemble propre d’UID, de GID et de capacités. Pour de plus amples détails, consulter user_namespaces(7).
 
espace de noms temps
Le processus peut avoir une vue distincte de CLOCK_MONOTONIC ou CLOCK_BOOTTIME qui peut être modifiée avec /proc/self/timens_offsets. Pour de plus amples détails, consulter time_namespaces(7).

OPTIONS

-i, --ipc[=fichier]
Créer un nouvel espace de noms IPC. Si fichier est indiqué, alors l'espace de noms est rendu persistant en créant un montage lié à fichier.
 
-m, --mount[=fichier]
Créer un nouvel espace de noms montage. Si fichier est indiqué, alors l'espace de noms est rendu persistant en créant un montage lié à fichier. Remarquez que fichier doit être situé sur le système de fichiers dont le drapeau de propagation n’est pas shared (ou une erreur survient). Utilisez la commande findmnt -o+PROPAGATION si vous n’êtes pas sûr du réglage en cours. Consulter les exemples ci-dessous.
 
-n, --net[=fichier]
Créer un nouvel espace de noms réseau. Si fichier est indiqué, alors l'espace de noms est rendu persistant en créant un montage lié à fichier.
 
-p, --pid[=fichier]
Créer un nouvel espace de noms PID. Si fichier est indiqué, alors l'espace de noms est rendu persistant en créant un montage lié à fichier. (La création d’un espace de noms PID persistant échouera si l’option --fork n’est pas aussi précisée.)
 
Consulter aussi les options --fork et --mount-proc.
 
-u, --uts[=fichier]
Créer un nouvel espace de noms UTS. Si fichier est indiqué, alors l'espace de noms est rendu persistant en créant un montage lié à fichier.
 
-U, --user[=fichier]
Créer un nouvel espace de noms utilisateur. Si fichier est indiqué, alors l'espace de noms est rendu persistant en créant un montage lié à fichier.
 
-C, --cgroup[=fichier]
Créer un nouvel espace de noms groupe de contrôle. Si fichier est indiqué, alors l'espace de noms est rendu persistant en créant un montage lié à fichier.
 
-T, --time[=fichier]
Créer un nouvel espace de noms temps. Si fichier est indiqué, alors l'espace de noms est rendu persistant en créant un montage lié à fichier. Les options --monotonic et --boottime peuvent être utilisées pour les décalages correspondants dans l’espace de noms temps.
 
-f, --fork
Fourcher le programme indiqué comme processus enfant de unshare plutôt que de l’exécuter directement. Cela est utile lors de la création d’un nouvel espace de noms PID. Il est à remarquer que quand unshare est en attente d’un processus enfant, alors il ignore SIGINT et SIGTERM et ne transmet aucun signal à l’enfant. Cela est nécessaire pour envoyer des signaux au processus enfant.
 
--keep-caps
Quand l’option --user est fournie, garantir que les capacités octroyées dans l’espace de noms utilisateur soient conservées dans le processus enfant.
 
--kill-child[=nom_de_signal]
À la fin de unshare, envoyer un nom_signal au processus enfant forké. Combiné avec --pid, cela permet une extinction aisée et fiable de l’arbre entier de processus sous unshare. S’il n’est pas donné, nom_signal est par défaut SIGKILL. Cela suppose --fork.
 
--mount-proc[=point_de_montage]
Juste avant d’exécuter le programme, monter le système de fichiers proc sur point_de_montage ( /proc par défaut). C’est utile lors de la création d’un nouvel espace de noms PID. Cela implique aussi la création d’un nouvel espace de noms montage, sinon le montage de /proc perturberait les programmes existants sur le système. Le nouveau système de fichiers proc est explicitement monté comme privé (par MS_PRIVATE|MS_REC).
 
--map-user=uid|nom
Exécuter le programme seulement après que les ID effectifs des utilisateurs actuels ont été mappés à uid. Si cette option est indiquée plusieurs fois, la dernière occurrence prévaudra. Cette option implique --user.
 
--map-users=uid_extérieur,uid_intérieur,nombre|auto
Exécuter le programme seulement après que le bloc d'UID de taille nombre commençant à uid_extérieur a été mappé au bloc d'UID commençant à uid_intérieur. Ce mappage est créé avec newuidmap(1). Si la plage d'UID recouvre le mappage indiqué par --map-user, alors un « trou » sera retiré du mappage. Cela peut avoir pour conséquence que l'UID le plus élevé ne sera pas mappé. La valeur spécial auto fera correspondre le premier bloc d'UID appartenant à l'utilisateur effectif de /etc/subuid au bloc démarrant à l'UID 0. Si cette option est indiquée plusieurs fois, la dernière occurrence prévaudra. Cette option implique --user.
 
--map-group=gid|nom
Exécuter le programme seulement après que les ID effectifs des groupes actuels soient mappés à gid. Si cette option est indiquée plusieurs fois, la dernière occurrence prévaudra. Cette option suppose --setgroups=deny et --user.
 
--map-groups=GID_extérieur,GID_intérieur,nombre|auto
Exécuter le programme seulement après que le bloc de GID de taille nombre commençant à GID_extérieur a été mappé au bloc de GID commençant à GID_intérieur. Ce mappage est créé avec newgidmap(1). Si la plage de GID recouvre le mappage indiqué par --map-group, alors un « trou » sera retiré du mappage. Cela peut avoir pour conséquence que le GID le plus élevé ne sera pas mappé. La valeur spécial auto fera correspondre le premier bloc d'UID appartenant à l'utilisateur effectif de /etc/subgid au bloc démarrant au GID 0. Si cette option est indiquée plusieurs fois, la dernière occurrence prévaudra. Cette option implique --user.
 
--map-auto
Faire correspondre le premier bloc d'UID appartenant à l'utilisateur effectif de /etc/subuid au bloc démarrant à l'UID 0. De la même manière, faire aussi correspondre le premier bloc de GID appartenant au groupe effectif de /etc/subgid au bloc démarrant au GID 0. Cette option est destinée gérer la cas courant où le premier bloc d'UID et de GID subordonnés peut être mappé à la totalité de l'espace d'UID et de GID. Cette option est équivalente aux spécifications de --map-users=auto et --map-groups=auto.
 
-r, --map-root-user
Exécuter le programme seulement après que les identifiants d’utilisateur et de groupe effectifs ont été mis en correspondance avec les UID et GID du superutilisateur dans l’espace de noms utilisateur nouvellement créé. Cela permet d’obtenir facilement les capacités nécessaires pour gérer divers aspects des espaces de noms nouvellement créés (comme la configuration d’interfaces dans l’espace de noms réseau ou le montage des systèmes de fichiers dans l’espace de noms montage) même lors d’une exécution ordinaire. En tant que fonctionnalité surtout pratique, elle ne permet pas des cas d’utilisation plus sophistiqués comme la mise en correspondance de plusieurs intervalles d’UID et GID. Cette option implique --setgroups=deny et --user. Cette option est équivalente à --map-user=0 --map-group=0.
 
-c, --map-current-user
Exécuter le programme seulement après que les ID effectifs des utilisateurs et des groupes actuels sont mappés aux mêmes UID et GID dans l’espace de noms nouvellement créé. Cette option suppose --setgroups=deny et --user. Cette option est équivalente à --map-user=$(id -ru) --map-group=$(id -rg).
 
--propagation private|shared|slave|unchanged
De manière récursive, régler le drapeau de propagation de montage dans le nouvel espace de noms montage. Le comportement par défaut est de régler la propagation à private. Il est possible de désactiver cette caractéristique avec l’argument unchanged. Cette option est ignorée silencieusement quand l’espace de noms montage ( --mount) n’est pas nécessaire.
 
--setgroups allow|deny
Permettre ou interdire l’appel système setgroups(2) dans les espaces de noms utilisateur.
 
Pour pouvoir appeler setgroups(2), le processus appelant doit au moins avoir CAP_SETGID. Mais depuis Linux 3.19, une restriction supplémentaire est appliquée : le noyau accorde la permission à l’appel setgroups(2) seulement après que le mappage de GID ( /proc/pid/gid_map) a été réglé. La carte de correspondances de GID peut être écrite par le superutilisateur quand setgroups(2) est activé (c'est-à-dire, allow, le comportement par défaut), et la carte de GID peut être écrite par des processus normaux quand setgroups(2) est désactivé de façon permanente (avec deny).
 
-R, --root=répertoire
Exécuter la commande avec le répertoire racine défini à répertoire.
 
-w, --wd=répertoire
Changer le répertoire de travail à répertoire.
 
-S, --setuid UID
Définir l’identifiant d’utilisateur qui sera utilisé dans l’espace de noms saisi.
 
-G, --setgid GID
Définir l’identifiant de groupe qui sera utilisé dans l’espace de noms saisi et abandonner les autres groupes.
 
--monotonic décalage
Régler le décalage de CLOCK_MONOTONIC qui sera utilisé dans l’espace de noms temps saisi. Cette option nécessite de ne plus partager un espace de noms temps avec --time.
 
--boottime décalage
Régler le décalage de CLOCK_BOOTTIME qui sera utilisé dans l’espace de noms temps saisi. Cette option nécessite de ne plus partager un espace de noms temps avec --time.
 
-h, --help
Afficher l’aide-mémoire puis quitter.
 
-V, --version
Afficher la version puis quitter.

NOTES

Les systèmes de fichiers proc et sysfs montés comme racine dans un espace de noms utilisateur doivent être restreints de façon qu’un utilisateur moins privilégié ne puisse avoir davantage d’accès aux fichiers sensibles qu’un utilisateur plus privilégié aurait rendus indisponibles. En bref, la règle pour proc et sysfs est aussi près que possible d’un montage lié.

EXEMPLES

La commande suivante crée un espace de noms PID, en utilisant --fork pour garantir que l’exécution de la commande est réalisée dans un processus enfant qui (étant le premier processus dans l’espace de noms) a le PID 1. L’option --mount-proc assure que le nouvel espace de noms montage est aussi créé simultanément et qu’un nouveau système de fichiers proc(5) est monté contenant une information correspondant au nouvel espace de noms PID. Quand la commande readlink(1) se termine, les nouveaux espaces de noms sont automatiquement détruits.
 
# unshare --fork --pid --mount-proc readlink /proc/self
1
 
En tant qu’utilisateur ordinaire, créer un nouvel espace de noms où les accréditations sont mappées à l’ID racine à l’intérieur de l’espace de noms :
 
$ id -u; id -g
1000
1000
$ unshare --user --map-root-user \
        sh -c 'aqwhoami; cat /proc/self/uid_map /proc/self/gid_map''
root
         0       1000          1
         0       1000          1
 
En tant qu'utilisateur ordinaire, créer un espace de noms utilisateur où les 65536 premiers ID sont tous mappés et où les accréditations d'utilisateur sont mappées à l’ID racine à l’intérieur de l’espace de noms. Le mappage est déterminé par les ID subordonnés assignés dans subuid(5) et subgid(5). L'exemple suivant le démontre en créant un fichier avec l'UID 1 et le GID 1. Par souci de brièveté, seules les mises en correspondance d'UID sont montrées.
 
$ id -u
1000
$ cat /etc/subuid
1000:100000:65536
$ unshare --user --map-auto --map-root-user
# id -u
0
# cat /proc/self/uid_map
         0       1000          1
         1     100000      65535
# touch fichier; chown 1:1 file
# ls -ln --time-style=+ fichier
-rw-r--r-- 1 1 1 0  fichier
# exit
$ ls -ln --time-style=+ fichier
-rw-r--r-- 1 100000 100000 0  fichier
 
La première des commandes suivantes crée un nouvel espace de noms UTS persistant et modifie le nom d’hôte tel que vu dans cet espace de noms. L’espace de noms est alors saisi avec nsenter(1) dans le but d’afficher le nom d’hôte modifié. Cette étape montre que l’espace de noms UTS continue d’exister même si l’espace de noms n’a pas de processus membre après que la commande unshare ait terminé. L’espace de noms est alors détruit en retirant le montage lié.
 
# touch /root/uts-ns
# unshare --uts=/root/uts-ns hostname TOTO
# nsenter --uts=/root/uts-ns hostname
TOTO
# umount /root/uts-ns
 
Les commandes suivantes établissent un espace de noms montage permanent référencé par le montage lié /root/namespaces/mnt. Dans le but d’assurer que la création de ce montage lié soit une réussite, le répertoire parent ( /root/namespaces) est transformé en montage lié dont le type de propagation n’est pas shared.
 
# mount --bind /root/namespaces /root/namespaces
# mount --make-private /root/namespaces
# touch /root/namespaces/mnt
# unshare --mount=/root/namespaces/mnt
 
Les commandes suivantes montrent l’utilisation de l’option --kill-child lors de la création d’espace de noms PID, dans le but d’assurer que lorsque unshare est tué, tous les autres processus dans l’espace de noms PID soient tués.
 
# set +m                # Ne pas imprimer les messages d’état de travaux
# unshare --pid --fork --mount-proc --kill-child -- \
bash --norc -c ''(sleep 555 &) && (ps a &) && sleep 999'' & [1] 53456 # PID TTY STAT TIME COMMAND 1 pts/3 S+ 0:00 sleep 999 3 pts/3 S+ 0:00 sleep 555 5 pts/3 R+ 0:00 ps a
# ps h -o 'comm' $! # Montrer que le dorsal de travail est unshare # kill $! # Tuer # pidof sleep
 
La commande pidof n’affiche rien car le processus sleep a été tué. Plus précisément, quand le processus sleep ayant le PID 1 dans l’espace de noms (c'est-à-dire, le processus init de l’espace de noms) a été tué, cela a entrainé que tous les autres processus soient tués. En revanche, une série de commandes similaires où l’option --kill-child n’est pas utilisée montre que quand unshare se termine, les processus dans l’espace de noms PID ne sont pas tués :
 
# unshare --pid --fork --mount-proc -- \
bash --norc -c ''(sleep 555 &) && (ps a &) && sleep 999'' & [1] 53479 # PID TTY STAT TIME COMMAND 1 pts/3 S+ 0:00 sleep 999 3 pts/3 S+ 0:00 sleep 555 5 pts/3 R+ 0:00 ps a
# kill $! # pidof sleep 53482 53480
 
L’exemple suivant montre la création d’un espace de noms temps où l’horloge « boottime » est réglée à un point plusieurs années en arrière :
 
# uptime -p             # Afficher le temps de fonctionnement
                        # dans l’espace de noms temps initial
up 21 hours, 30 minutes
# unshare --time --fork --boottime 300000000 uptime -p
up 9 years, 28 weeks, 1 day, 2 hours, 50 minutes

AUTEURS

Mikhail <[email protected]>Gusarov Karel <[email protected]>Zak

VOIR AUSSI

newuidmap(1) newgidmap(1) clone(2), unshare(2), namespaces(7), mount(8)

SIGNALER DES BOGUES

Pour envoyer un rapport de bogue, utilisez le système de gestion des problèmes à l'adresse <https://github.com/util-linux/util-linux/issues>.

DISPONIBILITÉ

La commande unshare fait partie du paquet util-linux qui peut être téléchargé de Linux Kernel Archive <https://www.kernel.org/pub/linux/utils/util-linux/>.

TRADUCTION

La traduction française de cette page de manuel a été créée par Christophe Blaess <[email protected]>, Michel Quercia <quercia AT cal DOT enst DOT fr>, Thierry Vignaud <[email protected]>, Frédéric Delanoy <[email protected]>, Thierry Vignaud <[email protected]>, Christophe Sauthier <[email protected]>, Sébastien Blanchet, Jérôme Perzyna <[email protected]>, Aymeric Nys <aymeric AT nnx POINT com>, Alain Portal <[email protected]>, Thomas Huriaux <[email protected]>, Yves Rütschlé <[email protected]>, Jean-Luc Coulon (f5ibh) <[email protected]>, Julien Cristau <[email protected]>, Philippe Piette <[email protected]>, Jean-Baka Domelevo-Entfellner <[email protected]>, Nicolas Haller <[email protected]>, Sylvain Archenault <[email protected]>, Valéry Perrin <[email protected]>, Jade Alglave <[email protected]>, Nicolas François <[email protected]>, Alexandre Kuoch <[email protected]>, Lyes Zemmouche <[email protected]>, Florentin Duneau <[email protected]>, Alexandre Normand <[email protected]>, David Prévot <[email protected]>, Jean-Paul Guillonneau <[email protected]> et Jean-Pierre Giraud <[email protected]>
Cette traduction est une documentation libre ; veuillez vous reporter à la GNU General Public License version 3 concernant les conditions de copie et de distribution. Il n'y a aucune RESPONSABILITÉ LÉGALE.
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